mercredi 24 octobre 2007

Création association Deux-Montagnes

Assemblée générale des membres du Parti vert du Québec du comté de Deux-Montagnes afin d'y créer l'association de circonscription. Cette assemblée se tiendra:

DATE: mardi le 30 octobre 2007
HEURE: 19 h 30
LIEU: Pavillon Boisé des Moissons
53, 25e avenue, St-Eustache

Lors de cette assemblée, nous aurons l'occasion de faire le point sur les événements de la dernière année, de procéder à l'élection d'un premier conseil exécutif de la circonscription auquel vous pourrez présenter votre candidature et de discuter des actions à prendre dans le comté pour l'année qui vient. Pour des informations supplémentaires, veuillez communiquer avec notre coordonnatrice Hélène Ouellet au 1-888-998-VERT(8378). Au plaisir de vous rencontrer à l'assemblée.

Guy Rainville
Responsable de la création de l'association
de la circonscription de Deux-Montagnes

mardi 23 octobre 2007

Développement du site Contrecoeur dans l’Est : Scott McKay demande un fonds de prévention

Soutenant une idée qui a été lancée lors des consultations publiques tenues dans l’arrondissement Mercier – Hochelaga-Maisonneuve sur le projet Contrecœur, le chef du Parti vert du Québec et ex-conseiller municipal du quartier, M. Scott McKay, propose la mise en place d’un fonds pour appuyer des mesures préventives et pour atténuer les nuisances causées par ce développement aux résidants actuels du quartier.

M. McKay a émis sa proposition lors de la présentation publique du nouveau projet, qui a eu lieu le dimanche 21 octobre à l’église Saint-Justin. Intervenant en faveur de la population touchée par les nuisances du projet, M. McKay a notamment déploré l’absence d’un député provincial dans le quartier pour défendre les intérêts des résidants. Pour lui, les aspects positifs du projet concernent essentiellement la nouvelle population qu’il attirera. « L’association du Parti vert active dans la circonscription de Bourget appuie la construction de logements pour les personnes âgées et les familles. Les taxes nouvellement perçues permettront certes d’améliorer la qualité des services dans l’arrondissement. Mais pour les résidants actuels, ces projets sont actuellement synonymes de problèmes », estime M. McKay.

Le chef du Parti vert a donc plaidé en faveur de la mise en place d’un fonds visant à soutenir des actions et des projets permettant de prévenir les problèmes de circulation envisageables et de favoriser la correction des atteintes à l'environnement et à la qualité de vie. « Le promoteur reconnaît que la période de construction demandera un dialogue constant avec les résidants pour en atténuer les impacts. Que propose-t-il pour financer de telles mesures? Malheureusement, rien pour l’instant. Aucune mesure n’est également envisagée dans le but de diminuer la circulation : inévitablement, il faudra de l’argent. Cet aspect a été négligé, mais il est encore temps d’agir », conclut le chef des Verts.

Selon M. McKay, les membres du Comité d’action Contrecœur ont accueilli avec intérêt cette idée verte. Notons que de tels fonds ont été mis en place dans plusieurs pays pour prévenir et compenser les nuisances provenant de projets importants. Aux plus récentes élections provinciales, plus de 150 000 Québécoises et Québécois ont voté en faveur de l’élection du Parti vert du Québec. Ce dernier fait la promotion du développement durable en politique et propose de gérer l’État selon les principes écologiques. Sa lutte vise à sauvegarder, préserver et améliorer notre environnement et ses habitants en rassemblant les Québécoises et les Québécois autour d’une vision d’avenir porteuse et cohérente.

jeudi 18 octobre 2007

La semaine québécoise de la réduction des déchets

En cette Semaine québécoise de la réduction des déchets, le Parti Vert du Québec tient à féliciter l’ensemble des québécois et québécoises pour la diminution de leur production de déchets. Le Québec rejoint maintenant la moyenne canadienne. Quand on se compare à la moyenne canadienne, on se console, mais quand on se compare au reste du monde, on voit l’énorme travaille d’éducation, de sensibilisation et de législation qui reste à faire. Il faut aussi souligner la hausse de la quantité de matières recyclées en se rappelant qu’il ne s’agit pas du concours du plus gros bac de recyclage mais que l’objectif demeure la réduction des déchets et que la façon la plus efficace et la moins coûteuse d’y parvenir est la réduction à la source. En ce sens, le programme du Parti Vert du Québec propose entre autre de légiférer afin de réduire ou éliminer certains emballages.

Pétitions et inaction
Malgré une pétition, déposée en juin dernier par le Front commun québécois pour une gestion écologique des déchets (FQGED) et appuyée par 89 groupes environnementaux, le gouvernement libéral n’a toujours pas mis en place ni même préparé de législation qui oblige les industries, commerces et institutions à recycler leurs matières résiduelles. On se retrouve ainsi dans une situation absurde où des écoles et des hôpitaux relevant du gouvernement ne pratiquent encore aucun recyclage, sauf peut-être une partie du papier, malgré les obligations découlant de la Loi sur le développement durable et des nombreuses politiques gouvernementales internes à cet effet.

Que le gouvernement se prépare, une autre pétition du FQGED circule en ce moment, elle demande d’interdire l’enfouissement des matières putrescibles qui représentent 30% de l’ensemble des matières résiduelles afin d’en favoriser leur compostage. La ville de Sorel demeure une pionnière en cette matière puisque les matières putrescibles y sont récupérées depuis plusieurs années.

Pollueur-payeur et non recycleur-payeur
L’application du simple principe pollueur-payeur souffre encore de nombreux accros. On punit parfois ceux qui recyclent en leur facturant l’achat de sacs de recyclage à un coût plus élevé que les sacs à déchets dans certains arrondissements de Montréal ou l’achat de bacs roulants à plus de 200$ aux citoyens à Ville de Saguenay. On peut difficilement faire mieux pour inciter les gens à cesser de recycler.

Appliquer les règlements
Malheureusement, la bonne volonté ne suffit pas toujours, et comme dans le cas des algues bleu-vert, le gouvernement québécois devra épauler les municipalités pour faire appliquer les minces réglementations existantes. Que l’ADQ et son porte-parole en environnement bloquent les propositions régionales de patrouille verte n’y change rien, le fait est que la réglementation dans ce domaine comme dans de nombreux autres demeure inappliquée. Pour que le ministère de l’environnement « arrête d’interdire », il faudrait bien qu’il ait enfin commencé.

dimanche 14 octobre 2007

Plus d'informations sur le Parti vert du Québec

Le Parti vert du Québec réunit des gens de tous horizons politiques et sociaux désirant faire la promotion du développement durable en politique. Issus d’un mouvement international, les Verts québécois veulent rassembler les gens d’ici autour d’une vision d’avenir porteuse et cohérente. Cette vision s’adresse à tous ceux qui ont à coeur l’amélioration et la préservation de notre qualité de vie. L’environnement est, bien sûr, au coeur de nos préoccupations qui touchent autant l’économie que le domaine social. Notre devise est l’innovation, dans tous les domaines!

Le Chef Scott McKay

Le 28 mai 2006, Scott McKay a été élu chef du Parti vert du Québec. Scott McKay a 46 ans. Il est père d’un enfant, Bastien et demeure depuis toujours dans l’Est de l’Ile de Montréal. Militant écologiste de la première heure, M. McKay fondait, durant ses années d’études, le mouvement écologiste du Cégep de Saint-Laurent, puis celui de l’UQAM. Il a ensuite dirigé le magazine Contretemps, revue d’écologie, science et société. Conseiller municipal du district d’Honoré-Beaugrand pendant 8 ans, il a notamment siégé à la Commission de l’Administration et des Finances de la Ville de Montréal et à la Commission de l’Environnement de la CUM. Il a assumé la responsabilité de Vice-président de la Commission de l’Environnement et des Travaux publics de la Ville de Montréal. Parmi ses réalisations de l’époque, on compte la construction de la Maison de la culture Mercier et l’aménagement du parc de la Promenade Bellerive. Scott McKay est membre du Conseil national du Parti vert du Québec depuis 2004. Titulaire d’une maîtrise en sciences de l’environnement, il oeuvre comme spécialiste en traitement des eaux au sein de la firme Elcotech.

Le PVQ s’organise à Sherbrooke

Sherbrooke, mercredi le 19 septembre 2007. - «Le Parti vert du Québec est maintenant bien implanté dans Sherbrooke», a déclaré Steve Dubois, le nouveau président du PVQ de la circonscription de Sherbrooke. Les membres du Parti vert du Québec de la circonscription de Sherbrooke se sont officiellement donnés un conseil exécutif, mardi soir dernier, lors de leur assemblée pour la création de leur association de circonscription. « De plus en plus de gens se joignent à nous dans notre combat pour faire respecter nos droits à un environnement sain et à une représentation démocratique équitable », a renchéri le porte-parole.

Les membres du PVQ à Sherbrooke ont profité de l’occasion pour adopter une proposition en faveur de la réforme du mode de scrutin. Cette proposition vise à inciter le Gouvernement à poursuivre le projet de réforme actuel, en vue de mettre en place un scrutin proportionnel qui assurerait une représentation plus équitable de la diversité des points de vues politiques dans notre société. « Le vieux système britannique n’est plus adéquat aujourd’hui », a déclaré Scott McKay, chef du parti. « Le Canada est l’un des rares pays démocratiques n’ayant pas un mode proportionnel de scrutin. Même l’Irlande et l’Écosse, au Royaume-Uni, ont modernisé leurs systèmes ». Le Directeur général des élections du Québec devrait déposer son rapport sur la réforme du mode de scrutin en décembre prochain.

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lundi 1 octobre 2007

Réaction de Scott McKay sur le plan vert de l'ADQ

Selon le chef du Parti vert du Québec, M. Scott McKay, Mario Dumont est rapidement venu diluer le virage vert de l'ADQ par son discours de clôture. "Comme les autres politiciens traditionnels, Mario Dumont continue d'opposer l'écologie et l'économie. Il n'a pas encore compris qu'une économie verte créera davantage d'emplois qu'une économie polluante" explique-t-il.

Pour démontrer la faiblesse des arguments de M. Dumont en environnement, Scott McKay compare le programme d'inspection des véhicules automobiles adopté par l'ADQ avec son appui aux ports méthaniers. "Mario Dumont veut obliger les citoyens ordinaires à se débarrasser de leur minoune. C'est bien. Mais la construction de deux ports méthaniers, si elle se concrétise, annulera complètement les efforts des citoyens. Mario Dumont veut taper sur les gagne-petits, pour plaire aux vendeurs de gaz naturel" estime le chef des Verts.

Le discours de clôture de M. Dumont illustre bien l'incohérence de son parti en matière d'environnement. "Il prétend que l'environnement doit être subordonné à l'économie. M. Dumont n'a pas encore compris que, tôt ou tard, le Québec devra prendre le virage vert. La progression de notre prospérité passe par une économie verte. Par son discours, Mario Dumont a mis de l'eau dans le gaz de son virage vert" conclue Scott McKay.

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