lundi 24 décembre 2007
mercredi 19 décembre 2007
Petit train ira-t-il loin?
Pour les Verts québécois, les quelque 386 millions de dollars engagés dans le contrat attribué par le gouvernement du Québec doivent se voir suivis d’autres investissements majeurs, notamment dans le développement du tramway. « Un dollar dépensé dans l’industrie automobile et pétrolière quitte directement le Québec, alors qu’un dollar investi dans le transport en commun électrique crée de l’emploi durable chez nous », soulève monsieur McKay. Lors de la dernière campagne électorale, le Parti vert du Québec avait proposé pour la région métropolitaine un investissement de 15 milliards de dollars sur 20 ans, financé à partir d’un péage sur les ponts autour de Montréal. « L’annonce d’aujourd’hui démontre combien il s’avère rentable économiquement, écologiquement et socialement d’investir dans le transport en commun électrique. Bravo… mais le train peut nous amener encore beaucoup plus loin! » conclut le chef des Verts.
mercredi 12 décembre 2007
Oui à la maison de l'OSM en bois
samedi 8 décembre 2007
Propositions du PVQ pour le Sommet forestier de Québec
Sommet sur l'avenir du secteur forestier québécois :
Le Parti vert du Québec présente son analyse de la crise forestière et des pistes de solution afin de la régler
Québec, le 7 décembre 2007 – Alors que le Sommet sur l'avenir du secteur forestier québécois se mettra en branle dans quelques jours à Québec, le chef du Parti vert du Québec, monsieur Scott McKay, tient à rappeler que les crises forestières représentent un phénomène cyclique. Les facteurs qui en sont à la source ne font que s’amplifier avec le temps. Pour les Verts, les participants au Sommet doivent éviter de se contenter de cataplasmes temporaires et saisir l’occasion pour forcer une diversification des modes de gestion de la forêt québécoise.
Diversifier plutôt que consolider
La principale proposition des Verts à cet effet est de diversifier les modes de gestion de la forêt. « La rigidité du régime forestier actuel limite notre capacité à nous adapter aux besoins, capacités et conditions propres à chaque région du Québec. Par exemple, il pourrait s’avérer avantageux dans certains cas de dissocier l'exploitation forestière proprement dite de la transformation industrielle », croit Scott McKay. « Selon nous, plusieurs contrats d'approvisionnement et d'aménagement forestier (CAAF) ont perdu leur raison d’être. La reprise par le gouvernement d’au moins 20 % du volume des CAAF d’ici 10 ans représente une multitude d’opportunités pour régionaliser l'exploitation de la forêt et la rendre aux communautés locales », estime-t-il. Pour le chef du PVQ, le modèle de l’industrie laitière peut servir d'inspiration : « Jamais on ne penserait retirer la production de lait aux agriculteurs pour la confier aux industries de transformation. C'est pourtant ce qu'on a fait avec la forêt publique, et il serait temps d’explorer de nouveaux modes de gestion », illustre-t-il.
Pour une politique de construction en bois
Le Parti vert propose l’adoption d’une politique de construction publique verte utilisant le bois comme un matériau écologique et renouvelable, politique qui devrait s’étendre ensuite aux bâtiments industriels et commerciaux. « Alors que le gouvernement parle de développer la deuxième et la troisième transformation, il doit donner l’exemple et contribuer activement à développer l’industrie des produits du bois ».